Deux vieilles connaissances se retrouvent après plusieurs années sous le toit de la maison dont Larose vient d'hériter. Il n'avait pas prévu que Pierrot amènerait la Luce. Une oeuvre intimiste portée avec brio par trois comédiens de talent. «Ça faisait trois ans que j'avais fini Keiko. Ou je faisais un autre film, ou je me suicidais. Plutôt que de mourir, valait mieux m'endetter. Ils ne pourront jamais m'empêcher de faire des films. Parce que pour moi, c'est une question de vie ou de mort.» (Claude Gagnon, 1982)