Un père de famille occupant un poste important dans une société de marketing publicitaire, est retrouvé mort dans une rue, près de son domicile, sans traumatisme apparent. Lors de l'examen préliminaire du corps, Henry découvre une trace de strangulation assez large et des marques de flagellation sur le torse. Le légiste en déduit que la victime subissait des punitions ritualisées et qu'elle est morte par strangulation. En interrogeant son épouse, les enquêteurs apprennent qu'il participait à des séances de "thérapie par la domination" auprès d'une "dominatrice professionnelle". Jo et Henry interrogent cette dernière dans son cabinet et examinent les "accessoires" de torture qu'elle utilise avec ses clients, notamment un collier de strangulation érotique qui correspond à la marque observée sur le cou de la victime. La thérapeute fait comprendre à Henry qu'il s'est trompé sur la cause du décès...